Welcome Back
Ce n’était pas prévu mais comme le destin fait bien les choses me voilà de retour chez Valrhona. Toutefois cette année il y a deux différences majeures : la marque et les missions.
En 2020, je vous avez fait voyager dans l’univers de la vanille chez Norohy à bord du vol marketing. En 2021, le tarmac reste le même mais c’est chez Valrhona au service communication international que j’ai posé mes valises.
Croyez-le ou pas mais le dépaysement est total. Il y a tellement de nouvelles notions et compétences à acquérir promis vous n’allez pas être déçu.e.s du voyage.
Retour en terre connue
Pour bien débuter ce blog, quoi de mieux qu’un petit rappel sur l’entreprise. Valrhona, c’est donc une histoire qui a débutée en 1922 à Tain l’Hermitage, une petite commune de la Drôme. À l’origine, Albéric Guironnet avait crée la Chocolaterie du Vivarais, puis, c’est en 1947 que le nom « Valrhôna » pointe le bout de son nez. Derrière ce nom se cache un clin d’oeil à la terre qui a vu grandir la marque à savoir la Vallée du Rhône.
Aujourd’hui Valrhona c’est donc aussi bien une marque de chocolat connue et reconnue par les professionnels de la gastronomie que les gourmets, un musée, des Écoles aux quatre coins du monde ainsi qu’un Fonds Solidaire et encore bien d’autres choses.
Mais alors : BtoB ou BtoC
À vrai dire un peu des deux ! Bien que la marque soit depuis les années bien implantée chez les professionnels de la gastronomie : chocolatiers, pâtissiers, boulangers, hôtels, restaurants etc… elle sait également séduire les gourmets comme on dit ici.
Toutefois, avec la crise du Covid-19, le business model de l’entreprise a été repensé pour permettre au BtoC de prendre une toute autre ampleur. C’est ainsi que la plateforme Valrhona Ensemble a vu le jour durant le premier confinement : https://www.valrhona-ensemble.fr
En terme de marchés, bien que l’entreprise soit implantée à l’international, c’est sur la zone Europe qu’elle réalise la majeure partie de son chiffre d’affaires. Notre concurrent principal est connu sous le nom de Barry Callebaut, ou pour les intimes Barry, un acteur belgo-suisse. En terme de volume, on peut facilement dire que nous sommes le petit poisson qui nage dans le banc des requins.
Pierre Hermé (à gauche) et Frédéric Bau (à droite) dans le Meilleur Pâtissier en 2018.
Valrhona c’est aussi des grands noms
Rentrer chez Valrho, comme on dit ici, c’est aussi travailler avec des « stars » de la gastronomie. Si je vous dis Pierre Hermé, Paul Bocuse ou plus localement Anne-Sophie Pic, ces noms vous disent sûrement quelque chose… Pour la marque, ils sont ce qu’on peut appeler nos têtes d’affiche.
Par ailleurs, au sein de l’École Valrhona de Tain, sorte de maison mère, il y a également Frédéric Bau. Il est à la gastronomie ce que Zinedine Zidane est au foot. Son nom ne vous dit sûrement rien pourtant dans le petit monde des gastronomes, il est « so famous ».
Valrhona c’est aussi des grands noms
C’est bien de connaître l’histoire de la marque et ses représentants mais que serait-elle sans son catalogue produits. Alors là, il faut accroche sa ceinture, car il y a de quoi en perdre son latin ou sa LV2 ! Chocolats de couverture et pralinés, bonbons de chocolats, décors en chocolat ou produits griffés BtoC, il y en a pour tous les goûts. Mais dans cette opulence de références, il y a un hic… ça veut dire quoi au fait chocolat : 50%, 55%, 75% ou plus si affinités ? Vous pensiez vraiment que j’allais tout vous dire aujourd’hui et bien non ! Je vous donne rendez-vous dans mon prochain article pour en savoir plus.
Bonjour Ellyne, belle mise en scène de ton premier article, très agréable à lire. Attention à bien vérifier ton orthographe. On salive d’avance …