La pluralité est la clé !
À l’image de l’année précédente, mes missions sont toujours aussi variées. En effet, il est parfois difficile de réellement donner un nom au poste que nous occupons.
Au sein de l’agence, nous sommes des chargés de projet mais nous sommes aussi des business developper ou encore des strategic planner. Difficile de s’y retrouver ? Je vais tout vous expliquer.
Comme vous avez d’ores et déjà pu le comprendre le fonctionnement est un peu particulier. Les corps de métier se divise en 2 grandes catégories les chargés de projet et les créas. Pour chaque profil, il est attendu de chacun d’être pluriel. En effet, les cadreurs sont aussi monteurs et motion designer ou encore graphistes. Cette pluralité nous permet de prendre en charge des projets 360. Il est alors attendu des chargés de projet la même pluralité.
Business Developper, le privilège du choix
Le rôle du business developper consiste essentiellement à effectuer un travail de prospection et de négociation, un rôle qui s’apparente à celui de commercial. Les manières de procéder sont diverses au sein même de l’agence. En effet, chaque chargé de projet peut mettre en place la stratégie qui lui correspond le plus. Avec Marion, ma collègue et tutrice, nous avons fait le choix, il y a de ça plusieurs mois (avant mon départ), de nous tourner principalement vers les problématiques RSE et Innovantes.
Étape 1
Identification d’une problématique
Avec Marion nous avons fait le choix de ne pas mettre en place une prospection de masse, c’est-à-dire que nous n’envoyons pas des centaines de mails au hasard. Nous commençons par identifier une problématique afin de définir les entreprises que nous allons contacter.
Étape 2
Mise en place de la stratégie
Une stratégie de prospection peut être mise en place via différents outils, de l’e-mailing, de la prospection linkedin ou encore l’utilisation d’un système de sales automation. L’e-mailing peut être adapté quand nous cherchons à contacter d’autres services d’une entreprise avec laquelle nous travaillons d’ores et déjà tandis qu’un système de sales automation nous permettra de collecter les mails d’entreprises qui ne nous connaissent pas.
Étape 3
Prise de contact
La prospection n’est pas une science exacte, il est difficile d’appréhender le nombre de retours que nous aurons. Lorsque nous avons un retour, nous proposons un rendez-vous afin de présenter à notre interlocuteur l’agence ainsi que nos prestations. Cette réunion est un moment de séduction au cours duquel nous devons donner envie à l’interlocuteur de travailler avec nous.
Strategic planner, pilier du projet
Chaque projet débute par l’intervention du strategic planner, rôle que nous prenons également en charge. Cette étape correspond à la prise de connaissance du projet ainsi qu’à la compréhension du besoin. Il est essentiel de ne pas brusquer cette étape afin de pouvoir assurer la réussite du projet. Nous mettons également un point d’honneur à travailler sur un concept pour chacun des projets. Ce temps que nous prenons nous permet de proposer une véritable plus value à nos clients.
Exemple 1
Le flipper pour mettre en scène l’automatisation intelligente
Dans la cadre d’une websérie pour Novelis, nous avons imaginé un concept afin de rendre une notion complexe plus accessible au grand public.
Exemple 2
La “tête sous l’eau” pour parler du trop grand nombre de notifications reçue
Nous avons travaillé aux côtés d’Engie sur une vidéo en motion design/screencat qui viendra aider les collaborateurs à alleger les notifications de leur compte Yammer (facebook professionnel). Ainsi nous avons travaillé sur la métaphore filée de la “tête sous l’eau”.
Exemple 3
Tisser des liens pour mettre en avant l’accompagnement d’une structure
L’Open Innovation était à la recherche d’un logo plus en accord avec les valeurs qu’ils portent. Pour cela nous avons travaillé longuement à leurs côtés sur la définition de leurs valeurs pour leur proposer un logo autour du fait de tisser des liens.
Account manager, l’assurance d’un projet réussi
Suite à cela nous endossons le rôle d’account manager. Il s’agit de s’assurer du bon déroulement du projet en effectuant le pont entre le client et les créas. L’essentiel de notre mission est alors de manager les équipes créatives. À savoir qu’en cas d’insatisfaction du client, la faute ne reviendra pas au graphiste mais au chargé de projet car il est le premier client de ce dernier. En effet, le chargé de projet prend l’entière responsabilité des supports qu’il présente.
Aujourd’hui c’est cette pluralité qui me convient, car elle me permet de me présenter comme un véritable couteau suisse. Superpitch me permet de m’ouvrir toujours plus de portes pour mon avenir professionnel.
Très bonne qualité d’article, bien rédigé et enrichi. Tes missions sont bien décrites et les visuels utilisés permettent de bien comprendre les concepts abordés. Un véritable couteau-suisse dis-tu 😉 J’en suis ravie…
Attention : Tes articles ne sont pas tous correctement catégorisés, je n’en vois que 3 au lieu de 5 voire 6 à cette date.